Depuis maintenant 6 ans je sonne avec une trompe Cornélius. Quand j'ai commencé à sonner avec, tout me paraissait plus facile. J'avais de plus en plus de puissance et de son. La trompe a évolué en même temps que moi et au fur et à mesure de ma progression des gênes sont apparus. Je suis donc allé à l'atelier Cornélius. Ils m'ont agrandit l'appui et je suis reparti avec une trompe comme neuve !
Lors d'un concours à Forges les Eaux, Gilbert m'entendit sonner et me dit d'aller le voir pour changer quelque chose avant le championnat qui était le soir même. Par peur de perdre mes repères je n'ai pas voulu. J'ai donc concouru mais quelque chose me bloquait, cela n'a donc pas été une réussite au niveau du classement ! Le lendemain je suis allé sur le stand Cornélius et Gilbert me dit « Petit con je t'avais dit de venir ... ». Il a prit ma trompe quelques minutes et me dit « essaie moi ça et cette après-midi fais la coupe de France et on en reparlera ». J'ai suivi son conseil et fini deuxième après Pierre Charpentier et devant l'ensemble des participants qui m'avait battu la veille au soir.
Cette anecdote vous prouve la maniabilité de ces trompes : si vous faites l'acquisition d'une trompe Cornélius elle vous suivra tout au long de votre parcours de sonneur. A moins de la couper en deux, votre Cornélius c'est pour la vie !

Guyaume VOLLET



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